Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre arrondie au milieu de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, donnant les envies danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une inhalation lente, une tic débarquée d’un geste traditionnel répété à toute heure. https://voyancegratuiteenligneimm90009.pages10.com/la-matière-qui-soutient-69556909