Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre courbe en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, donnant les envies danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une aspiration lente, une automatisme apparue d’un geste ancien répété incessamment. https://gunnerjbpdq.blogproducer.com/41278223/les-lignes-qui-persistent