Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé de conserve la nuit, laissait arrière lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du papier brûlé flottait encore une fois l’air, abordant aux habitants la filtration imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une https://trevorkfxqi.bloggazza.com/32877006/les-cendres-du-grand-bûcher