Le soleil se leva avec une douceur inattendue, enveloppant le marécage d’un banne mordoré qui atténuait l’austérité des silhouette et l’humidité ambiante. Lauriana ouvrit les yeux sur des lueurs irisées se réverbérant dans la brume matinale, encore imprégnée par la paix compliquée de la nuit révolue. Le gerbe n’était plus https://franciscouvtql.bloggadores.com/32320360/lauriana-voyance